David Epston a donné ce matin une conférence qui commençait par une déconstruction de l’apprentissage de la propreté autour de l’idée communément acceptée (pour des raisons culturelles et sanitaires) que les excréments seraient obligatoirement quelque chose de sale.
Il a revisité l’article de référence qu’il a écrit avec Michael White sur l’encoprésie (celui avec “Sneaky Pooh” -Caca Sournois- qu’ils ont publié en 1983 et qui figure dans leur livre “Les moyens narratifs au service de la thérapie”, Editions Satas) et les réflexions autour des tours que les problèmes peuvent jouer aux enfants et des farces, ou “trucs” dont l’enfant et son équipe (parents, thérapeute, famille…) peuvent jouer en retour aux problèmes.
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