La fin de la conférence… ou presque

En direct de la 4ème Conférence Européenne des Pratiques Narratives et Travail Social.

Nous voici à la fin de cette conférence intense et soutenue.

Crédit photo : Tassou Tarat

Nous toutes, vos correspondantes pour la francophonie, continuerons de rédiger nos articles sur les multiples ateliers intéressants.

atelier-post-conference-jill-freedman-blog jill-freedman-et-la-super-traductrice-anna-pooley-blog

Actuellement, nous assistons à un atelier post-conférence de notre amie, Jill Freedman, que nous voyons sur la seconde photo accompagnée de sa super traductrice Anna Pooley.

Elizabeth Feld, samedi 9 juillet 2016

Dire adieu (2)

Titre original : « Responding to people seeking asylum – Poh Lin Lee (2) »

En direct de la 4ème Conférence Européenne des Pratiques Narratives et Travail Social.

Saying good bye first

Ce texte m’est inspiré par un entretien rapporté par Poh Lin Lee avec un jeune homme du centre de détention de Christmas Island.

Quand toutes les personnes que tu côtoies
Disparaissent sans crier gare
Sans le temps d’un au revoir
Tu apprends à commencer
Par dire adieu
À tous ceux
Qui engagent la conversation avec toi

Quand toutes les personnes que tu côtoies
Disparaissent sans crier gare
Sans le temps d’un au revoir
Tu prends le temps d’un engagement
Dans chacune des conversations
Qui te relient, même pour un instant

Quand toutes les personnes que tu côtoies
Disparaissent sans crier gare
Tu dis adieu puis bonjour

Demain, quand je te rencontrerai
Je prendrai
Le temps de te dire tout ce que tu m’apportes
Après tout, ici aussi
Je ne sais pas ce qui m’attend
Derrière la porte !

Martine Compagnon, samedi 9 juillet 2016

P.S. :  Poh Lin m’a fait le plaisir d’ajouter le lien sur ce billet sur son site Narrative Imaginings.

Accueillir les réfugiés (1)

Titre original : “Responding to people seeking asylum – Poh Lin Lee (1)”

En direct de la 4ème Conférence Européenne des Pratiques Narratives et Travail Social.

À deux jours d’intervalle, deux présentations ont abordé des exemples d’interventions menées par des praticiennes narratives, auprès de personnes réfugiées et déplacées.

Le Dulwich Center lance un appel à contribution

David Denborough et le Dulwich Center lancent un appel à contribution aux praticiens narratifs : comment pouvons-nous agir, localement, en réseau, auprès des personnes déplacées ? Aujourd’hui, dans le monde, 1 personne sur 113 ne peut pas rentrer chez elle. (Voir document joint Asylum crisis: how can we respond?).

Voici le premier de 3 articles, pour partager mes points clefs de l’atelier donné par Poh Lin Lee, Dulwich Center.

Phosphate, crabes et centre de détention

Christmas Island. Îlot australien au large de l’Indonésie qui “accueille” -le vocabulaire a parfois un humour grinçant- tous les réfugiés interceptés en mer dans les eaux territoriales australiennes.

Au fil des années, et du durcissement de la législation sur l’immigration, seules quatre voies se présentent aux hommes, femmes, enfants internés ici :

  • L’envoi, pour une durée indéterminée, dans un autre centre de détention situé de l’autre côté de l’Australie, dans le Pacifique, sans aucune possibilité de mettre les pieds en Australie,
  • L’expulsion en direction du pays d’origine (Afghanistan, Iran, Irak, Syrie, Sri Lanka…),
  • La détention illimitée dans le centre de détention de l’Île,
  • Un visa pour l’Australie, sans jamais obtenir le droit de travailler ou d’étudier.

Dans tous les cas de déplacements ou d’expulsion, les personnes ne sont pas prévenues à l’avance. L’Administration leur donne en moyenne 10 minutes pour faire leurs paquets et leur adieux avant de disparaître.

No Future

Une personne dans de telles conditions d’incertitude et d’absence de perspective, “tient” 6 mois avant de connaître des troubles psychologiques. 3 mois si cette personne a auparavant vécu une situation de traumatisme, ou de torture.

Le taux de suicide ou d’atteinte à l’intégrité des personnes conduit le Gouvernement à installer un “Torture & Trauma Council”, centre de Conseil aux personnes victimes de traumatismes ou de torture. Ce service, série de baraques en préfabriqué, installées près de l’hôpital, offre aux détenu.es la seule possibilité de sortir du centre de détention, amené.es puis remmené.es sous escorte.

Poh Lin Lee et d’autres collègues du Dulwich Center, interviennent dans ce centre.

Shift from Curing to Enduring / Sustaining

Dans de telles conditions, comment pratiquer des conversations qui parlent d’espoirs et de rêves, d’identité préférées dans le futur, sans se heurter à l’incertitude insoutenable qui plombe la vie des personnes présentes ?

Que faire, lorsque le praticien sait qu’il n’a aucune solution, aucune réponse à la question “qu’est-ce que je deviens demain ?” :

  • Se dire que l’on ne changera rien de façon opératoire, mais que témoigner est essentiel ! La présence des praticiens permet d’apporter une réponse au moins à l’une des trois questions qui hantent les “survivants” : “est-ce que j’existe vraiment ?” “Est-ce que quelqu’un sait que je suis ici ?” “Est ce que je deviens fou ?”
  • Recontextualiser le traumatisme, en replaçant dans le tableau la responsabilité politique, gouvernementale, occidentale, légale… pour sortir de la représentation d’une responsabilité de l’individu dans la situation de détresse mentale qu’il connaît. Faire donc de la thérapie un acte politique.
  • Créer par les conversations, des îlots de sécurité, connectés aux identités préférées, reliés aux valeurs et aux intentions.

Un conte ?

L’homme marche sur la plage. Sur le sable, des milliers d’étoiles de mer abandonnées par le retrait de la marée.

L’homme se penche et en ramasse une. Il la relance dans les flots. Il en attrape une autre, et la relance de toutes ses forces dans l’eau. Puis une autre…

Un autre homme l’accompagne, et l’observe.

  • Pourquoi est-ce que tu t’obstines ? Ça ne sert à rien ! Tu en relances une ou deux. Il en reste des milliers qui vont mourir. Ça ne change rien !
  • Tu as raison. Ça ne change rien au final. Mais tu vois celle-ci, que je tiens dans ma main ? Pour elle, ça change tout !

… et il la renvoie de toutes ses forces dans l’eau.

Martine Compagnon, vendredi 8 juillet 2016

P.S. :  Poh Lin m’a fait le plaisir d’ajouter le lien sur ce billet sur son site Narrative Imaginings.

Stephen Madigan : donner la parole à la relation

En direct (avec un léger différé) de Barcelone  où se déroule la 4ème Conférence Européenne des Pratiques Narratives et Travail Social.

La conférence est précédée d’un atelier avec Stephen Madigan “Relationnal Interviewing Emotional Preparing Conflicted Couples for Mediation, Separation or Réunification”.

Nous y avons assisté et souhaitons partager avec vous quelques points clefs. (Nous assumons les traductions, toujours délicates, que nous avons faites des formulations de Stephen). Un article est en cours de rédaction par Stephen Madigan et rendra compte à la rentrée de ses expérimentations et recherches sur le sujet.

Stephen Madigan expose durant l’atelier d’une journée, ce qu’il explique être la récente réorientation de son travail : reconstruire l’éthique de la Relation, avant de déconstruire le conflit.

Il commence par réaffirmer son intention de prendre de la distance par rapport à une lecture individualiste du conflit, telles que “les causes de la mésentente de notre couple sont à rechercher chez l’un ou l’autre d’entre nous et signent notre incapacité à faire mieux”.

La Relation est relationnelle

Il prête aujourd’hui toute son attention à la Relation elle-même, celle qui relie les deux personnes présentes – quoi qu’elle devienne : Relation de personnes en couple, de personnes séparées ou de parentalité (s’ils ont à partager demain la garde / la responsabilité d’enfants).

Il pose les conditions d’un dialogue riche sur l’éthique de la Relation, de ce qu’elle fut et de ce qu’elle pourrait être demain.

“Puis-je vous demander comment vous vous êtes rencontrés ? (…)”

“Pensez-vous que votre Relation possédait un socle de valeurs et d’éthique qui vous étaient communes ? Lesquelles ? (…) “

“Pensez-vous que (telle pratique) a comme effet de renforcer ou au contraire d’amoindrir votre Relation ?”

“Comment pensez-vous que votre Relation s’est débrouillée par le passé pour ne pas être déstabilisée par (…) ?”

“D’après vous, quelle relation votre Relation entretient-elle avec d’autres relations ? Par exemple, en quoi votre Relation au Travail interfère-t-elle avec votre Relation ? Et votre Relation à vos parents ? Aux réseaux sociaux (…) ? En quoi ces autres Relations laissent-elles (ou non) des ressources ou de l’espace à votre Relation ?”

Etc.

Avant, j’écrivais des lettres au couple, maintenant, j’écris des lettres à la Relation

Après avoir posé ainsi les bases d’une reconstruction de la Relation, Stephen Madigan nourrit une documentation sur l’éthique de la Relation.

En tant que thérapeute, il écrit un courrier à la Relation de Nicole et Jason :

“Chère Relation, j’ai entendu parler de toi par Nicole et Jason. J’ai compris que tu étais nourrie de telle et telle valeur. (…)

Je crains que sans guide de ta part, vous ne restiez bloqués. Accepterais-tu de leur donner ton point de vue sur ce qui t’aiderait à avancer ? (…)”

Chaque partenaire est invité à écrire, de son côté, au couple, au nom de la Relation (une page maxi).

Puis, en séance, chacun est invité à lire sa version de la lettre à haute voix puis à témoigner de ce que cela lui a fait de rédiger cette lettre. Le partenaire est invité oralement à répondre à la Relation, ou à dire ce que cela lui fait d’entendre la Relation s’exprimer ainsi.

Un exemple de lettre, du point de vue de la Relation, à Nicole et Jason

Chers Nicole et Jason,

Tout d’abord, je tiens à remercier l’effort que vous avez mis pour me reconstruire et essayer de me remettre en bonne santé. Je suis passée par des moments difficiles au cours de ces derniers 18 mois et bien que je semble différente de ce que j’ai pu être avant, finalement je commence à me sentir comme mon (nouveau) moi à nouveau.

Ne vous méprenez pas, ce qui m’est arrivé est triste, mais je suis sûre qu’il y a des parties de mon ancien moi, que je peux conserver/retrouver avec votre aide, et que je peux être forte, drôle, aimante et réconfortante à nouveau.

Je me rends compte que pendant un temps j’étais tout à fait méconnaissable, mais j’espère vraiment que vous vous souvenez de ce que vous appréciiez collectivement avant que je ne tombe malade. Je veux être pour vous 2, une amie pour la vie et aussi longtemps que vous me promettez de prendre soin de moi, je promets de faire de même avec vous mais j’y mets une condition … s’il vous plaît n’oubliez de m’apprécier.

Je suis tellement fière, de vous deux, pour la façon dont vous élevez vos deux beaux enfants. Me sentant mieux maintenant, je sens que je peux vraiment vous aider. Vous faites tous les deux un excellent travail, et je suis sûre que lorsque je serai en parfaite santé et heureuse à nouveau, nous pouvons faire encore mieux si nous travaillons ensemble.

Si je me sens bien avec moi même, les filles le remarqueront et se sentiront mieux aussi. Je vois que vous êtes deux parents affectueux et bienveillants qui ne souhaitent que le meilleur pour Avery, Brooke et Emilie, et je veux faire partie de cet amour et partager un grand nombre des réalisations et des moments avec vous cinq, quelque soit la façon dont je puisse le faire.

S’il vous plaît, soyez gentils, respectueux, affectueux et reconnaissants les uns envers les autres… Cela m’aide à me sentir forte.

Cordialement,
Votre relation

Cette pratique aboutit, entre autres, à trois effets que souligne Stephen :

  • permettre aux partenaires de développer de la compassion à l’égard de la Relation elle-même et de son degré d’épuisement et de faiblesse – avec comme conséquence de permettre aussi de ressentir de la compassion pour les personnes
  • aborder le sujet délicat de la perte et du deuil que chaque partenaire vit, souvent seul.e et sans moyen d’en savoir plus concernant le ressenti de l’autre, à l’égard d’une Relation amenée à vivre une modification
  • en cas de séparation, permettre d’en faire aussi une occasion de célébration et d’espoir, sur ce que la Relation fut et sur ce qu’elle peut devenir.

Une contribution narrative (sur l’éthique de la Relation) aux phases légales de la gestion du conflit

En fin de journée, Stephen témoigne de sa collaboration avec des avocats / juristes spécialisés. A lui, clairement, la contribution à une documentation sur l’éthique de la Relation, partagée avec le couple sous forme d’une lettre adressée comme thérapeute, à la Relation. Cette lettre, qui témoigne de valeurs encore reconnues par la Relation aujourd’hui, est ensuite rendue publique et partagée avec d’autres personnes, dont les médiateurs, travailleurs sociaux ou avocats qui seront ensuite amenés à accompagner le couple dans de décisions légales de partage de responsabilité. A eux, si la situation le nécessite, l’accompagnement du couple dans les aspects juridiques et officiels de la séparation.

Une mise en pratique en guise de conclusion

Voici les consignes qui ont guidé un travail réalisé durant l’atelier…

  • Choisissez une personne qui compte pour vous
  • Prenez un moment (10 mn) pour écrire une lettre du point de vue de la Relation, à votre relation (NDLR : si possible, lisez cette lettre à voix haute, à une personne que vous choisissez à vos côtés).

Suite de l’exercice :

  • Comment avez vous vécu cet exercice du point de vue de la relation ?
  • Qu’auriez vous à dire de nouveau sur cette relation ?
  • Y a-t-il quelque chose que vous aimeriez partager avec nous ?

Marie-Rose Lamonica et Martine Compagnon

Voyage pour devenir thérapeute

En direct de Barcelona où se déroule la 4ème Conférence Européenne des Pratiques Narratives et Travail Social.

Ceci est un poster du “Voyage pour devenir thérapeute” de la part de Miriam Zavala Díaz de Mexico.

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Elle s’en sert pour aider les thérapeutes en formation à suivre leur chemin sur une carte. À chaque endroit, on peut sortir une petite note descriptive qui donne des détails.

Lien sur le projet : Espacios Narrativos
Lien sur la carte : Map “Becoming a therapist” (traduction française sur le wiki : Voyage pour devenir thérapeute)

Cette conférence s’avère très dense. Nous vous enverrons, dès que nous aurons une minute, les descriptions des ateliers passionnants auxquels nous assistons.

Nous sommes une petite délégation française bien active (Martine, Maria Rosa, Anne-Sophie).

À plus, Elizabeth

La parole aux objets

615_001Par Charlotte Crettenand

Chers passionnés !
De retour dans ma plaine du Rhône valaisanne, je souris souvent (qui a dit “bêtement”?) en pensant à l’une ou l’autre anecdote issues de ces excellentes journées nantaises. J’ai été fortement stimulée par la richesse de ce congrès.

Je souhaiterais faire une proposition à ceux qui ont participé à l’atelier à propos du deuil, co-animé avec Catherine Mengelle. Après avoir reçu un email du souvenir de Pierre (BS), je me suis dit que ce serait une belle façon de prolonger et d’amplifier vos conversations.

Si vous aussi, vous avez choisi un objet souvenir qui se sent l’âme de coucher sur papier (virtuel ou non) quelques mots, ce serait avec plaisir et immense intérêt que je recevrai cette missive à charlotte@trame-narrative.ch

Jerome Bruner passe hors champ

brunerJerome Bruner est décédé le 5 juin à l’âge de 100 ans. Les Pratiques Narratives doivent beaucoup à ce grand Monsieur, psychologue et philologue influencé par les travaux de Lev Vigotsky et qui a à son tour exercé une profonde influence sur les fondateurs de la thérapie narrative (notamment Michael White à partir de 2004). Nous lui devons des ouvrages incontournables comme “Pourquoi nous racontons nous des histoires” et “Culture et modes de pensée”. Sa contribution à l’élaboration de la métaphore textuelle et des paysages de l’action et de l’identité (à l’origine “paysage de l’intention”) est essentielle, nous lui devons la transposition de cette métaphore littéraire au champ psychique et narratif. Nous utilisons tous les jours, peut-être sans le savoir, son travail dans nos conversations avec nos clients. “Errances narratives” lui rend hommage avec respect.

 

Nantes : le printemps narratif

Il faut écrire à chaud sur les conférences narratives. Ne pas laisser trop se dissiper l’énergie et l’émotion. Sinon, ça devient du réchauffé, et puis on ne le fait plus.

Ceci est un espace commun pour exprimer nos / vos retours des Journées Narratives Francophones de Nantes, les 3 et 4 juin (donc avant-hier et hier), qui ont été un très beau succès. Sous quelle forme ? Celle que vous voulez : article et conversations dans la chaîne des commentaires, poèmes, dessins, débats, articles plus importants envoyés à la Fabrique et qui seront publiés à part… ou si vous le souhaitez, réponse aux 3 questions suivantes que nous vous proposons :

  • Quels ont été les moments, images, mots, expressions qui vous ont mis des petites étoiles ?
  • Quelle image cela vous donne t-il de la communauté narrative francophone et de ses valeurs ?
  • Quelles nouvelles possibilités pour vous dans votre contexte, travail, pensée, etc. ?

C’est à la fois une façon d’offrir aux autres participant-e-s un reflet de la trace identitaire de ces deux jours et à celles et ceux qui n’y étaient pas des poussières d’étoiles et un aperçu de ce que nous avons vécu.  N’ayez pas peur d’écrire dans ce blog, praticien-ne-s chenu-e-s ou narra-babies. Si cela vous intimide de publier vos retours, c’est que les activités du Pouvoir et du Privilège sont entrées dans Errances Narratives, et qu’elles l’isolent de ses valeurs, de ses intentions et de son rôle. Et ça, nous ne l’acceptons pas.

L’équipe de la Fabrique

Hypnose et approche narrative : la main dans la main

muriellemaitreUne conférence de Murielle Maitre sur ce sujet important aura lieu jeudi 26 mai (après-demain) au Forum 104 à Paris. 

L’hypnose thérapeutique et l’approche narrative sont parfaitement complémentaires, certains diront même : les deux faces de la même pièce. David Epston était un grand hypnothérapeute avant même d’avoir jeté les bases de la thérapie narrative avec Michael White. Et ce dernier refusait d’être considéré comme pratiquant l’hypnose, même si de nombreux observateurs de ses séances lui disaient le contraire. Qu’est-ce qui fait de la Narrative et de l’hypnose des complémentaires dont l’utilisation associée multiplie les possibilités de la conversation ? Quelles sont les passerelles théoriques entre les deux ? Comment se former à l’hypnose pour des praticiens narratifs ? Autant de questions auxquelles répondra Murielle au cours de sa conférence, annoncée ici très tardivement du fait d’un problème technique. Mais si vous pouvez vous libérer, foncez, vous ne le regretterez pas !

Inscriptions : voir ici