LES FRANCAIS A L’HONNEUR

Nos amis Dina Scherrer, Stéphane Kovacs, Jean-Louis Roux et Françoise Quennessen ont eu l’honneur de voir l’un de leurs articles publiés sur le site du Dulwich Centre.

Dina et Stéphane ont publié un article (voir ici pour le lire) extrêmement original concernant les applications de “l’arbre de vie” aux contextes professionnels. Ces applications ont été mises au point et testées par Dina et Stéphane à différentes occasions. Nos collègues australiens se sont intéressés à leur travail car ce sont à peu près les seuls praticiens qui développent une pratique en entreprise et en coaching de l’ “arbre de vie” (technique développée par Ncazelo Ncube (REPSSI) et David Denborough). Dina, enseignante à la Fabrique Narrative et auteur de “Echec scolaire, une autre histoire possible” (l’Harmattan), animera au printemps prochain un atelier d’approfondissement sur l’arbre de vie à la Fabrique Narrative de Paris (dates à venir, elles vous seront communiquées dès que possible ici).

Dans la section française du site, (voir ici pour lire l’article) on lira également une étude de cas très détaillée rédigée par Jean-Louis Roux et Françoise Quennessen à partir d’une intervention auprès d’un collectif de managers qu’ils ont réalisée, aboutissant à la rédaction d’un document collectif. Cet article avait été publié en février dernier dans “Errances Narratives”.

Ces deux publications témoignent de la vitalité et de l’originalité des pratiques narratives dans notre pays, et de l’intérêt manifesté par nos collègues internationaux pour nos contextes de travail spécifiques dans les organisations.

3 réflexions au sujet de « LES FRANCAIS A L’HONNEUR »

  1. Salut Pierre,

    Merci de cette très sympathique attention. Je chante volontiers cocorico et Dina avec moi. Que c’est bon de savoir son travail reconnu. Cet article nous ayant demandé quelques efforts en l’absence de publication j’aurai certainement ressenti de la déception.

    Je me souviens de la discussion avec Dina qui devait décider de l’engagement dans ce travail de rédaction. Il était important pour chacun d’entres nous d’être aussi clair que possible vis-à-vis de soi et vis-à-vis de l’autre sur les espoirs qui nous animaient en nous lançant dans cette aventure.

    Dina me corrigera si je ne reproduis assez fidèlement notre conclusion mais elle pourrait se résumer à la phrase suivante : “si cet article doit permettre à une seule personne qui ne l’ose pas encore de se lancer dans le même genre d’aventure, alors écrivons-le.”

    Je n’ai pas encore enregistré ce genre de témoignage mais je ne désespère pas. La graine est plantée et sa germination ne dépend plus de nous mais si ce moment se produit un jour alors je chanterai mon cocorico suprême !

    Cet article avait aussi un but périphérique et certainement pas secondaire. Dina et moi sommes conscients de la présence d’une dorsale au fond de l’océan des pratiques narratives françaises et nous souhaitons ne commettre aucune maladresses qui pourrait augmenter la poussée de chaque plaque tectonique l’une contre l’autre. Certes mais faut-il se résigner passivement devant cette configuration ? Et si nous ne voulons pas nous y résigner quoi faire ?

    Chaque fois qu’une occasion se présentera de manifester par des actes notre plaisir d’établir des ponts et des passerelles sur cette dorsale nous la saisirons et co-écrire cet article était une occasion inespérée d’en faire une première expérience.

    Voilà donc quelques informations qui n’étaient pas dans cet article mais qui le relie à l’histoire des pratiques narratives dans notre pays. Comme nous parlons de cette histoire là, la grande histoire des Pratiques Narratives, vous pouvez vous adresser, vous la Fabrique Narrative, un grand bravo parce que sans votre initiative d’organiser à Bordeaux la Master Classe animée par Cheryl et David consacrée aux Pratiques Narratives Collectives, cet article n’aurait pas été écrit !

    Bien à vous,
    Stéphane

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